Près du gué de Trohinat il y a un champ, et dans le champ il y a un chêne, et sous le chêne, il y des moutons... On dirait le début d'une comptine, mais j'aime bien passer par là, j’appelle le paysage que traverse la route qui borde le Canut "la petite Auvergne"...
Je regarde grandir un chêne qui, non content d'accueillir les oiseaux dès le printemps, protège les agneaux des giboulées avant les premiers bourgeons.
L'arbre a une jupe de longues perches qui servent de bergerie rustique à quelques brebis et à leurs agneaux.
Le chêne de Trohinat en été (été 2006)
Bonjour Musardise,
RépondreSupprimerUn arbre remarquable qui doit avoir de sacrés souvenirs :)
Probable "vestige" d'un ancien bois devenu champ.
Bien à vous,
Gaël
Bonjour Gaël
RépondreSupprimerCe n'est pas un très vieux chêne, et vous avez sans doute raison, il n'a pas poussé là tout seul. En tout cas, c'est un chêne-nounou pour les agneaux !
Ils ont du grandir ces chênes.
RépondreSupprimerC'est comment maintenant ?
Agnès